12 Statistiques sur le piratage vidéo, 6 méthodes de prévention (2023)

Si vous êtes propriétaire d’une entreprise qui offre du contenu vidéo, il est fort probable que vos vidéos soient piratées et que vous subissiez une perte de revenus substantielle. L’industrie cinématographique subit à elle seule une perte d’environ 40 et 97,1 milliards de dollars en raison du piratage de vidéos numériques. C’est un montant considérable, n’est-ce pas ? Si vous parlez de la bande passante mondiale, le piratage vidéo et les autres formes de piratage représentent environ 24 % de la bande passante mondiale.

Les créateurs de contenu passent beaucoup de temps à créer leur contenu. La plupart des séries télévisées que vous pouvez voir sur Netflix prennent des mois à produire et coûtent aussi beaucoup d’argent. Il est regrettable de déployer tous ces efforts et que votre contenu soit téléchargé gratuitement. Dans certains cas, les utilisateurs partagent leurs informations d’identification avec d’autres et un seul compte est utilisé pour plusieurs accès.

Comment se produit le piratage vidéo ?

En fait, le piratage vidéo se produit de deux manières. Le partage d’informations d’identification et le téléchargement de vidéos. Le piratage, quel qu’il soit, qu’il s’agisse du piratage de films ou du piratage de contenu d’apprentissage en ligne, nuit aux revenus. Ne pensez-vous pas que les utilisateurs préféreraient accéder au contenu gratuitement s’ils avaient cette possibilité ?

Voici quelques moyens par lesquels vous pourriez perdre de nouveaux clients potentiels et des revenus.

Partage des informations d’identification

Si on lui donne le choix, tout le monde choisira de ne pas payer pour quelque chose qu’il obtient gratuitement. Mais en tant que créateur de contenu, c’est votre pain et votre beurre. Autant faire un effort supplémentaire pour y remédier.

Le partage d’identifiants se produit avec des services de streaming comme Netflix, Amazon Prime, Disney Hotstar. Les utilisateurs achètent souvent un seul compte, le partagent avec leurs amis et leur famille sans payer de bande passante ou d’utilisateurs supplémentaires.  Parfois aussi, avec des inconnus pour balayer les différents services souscrits.

Il existe différentes autres façons de pirater du contenu vidéo en obtenant l’accès aux informations d’identification.

● Vol de mot de passe – Lorsque les informations d’identification du compte sont piratées et volées aux utilisateurs. Ces comptes peuvent ensuite être vendus par des pirates.

● Essais sans fin – Celui-ci est assez populaire parmi les utilisateurs, car ils créeraient souvent de faux comptes. Même en utilisant différentes cartes de crédit, pour accéder au contenu gratuitement et même revendu parfois.

● Contournement des contrôles de concurrence – Les pirates piratent le serveur de la plateforme vidéo pour bricoler la restriction du nombre d’appareils. Ainsi, un seul compte peut être utilisé par plusieurs utilisateurs sans aucune restriction.

● Vol de jetons – Les apps de streaming ou les navigateurs web utilisent des jetons pour identifier l’utilisateur. Les pirates peuvent copier ces jetons sur d’autres appareils et les utiliser à nouveau pour accéder au contenu.

Téléchargement de vidéos

Il existe plusieurs outils disponibles en ligne qui permettent aux utilisateurs de télécharger facilement une vidéo.  En entrant simplement l’URL dans l’outil, ils peuvent facilement télécharger votre vidéo. Et à partir de là, elle peut facilement se retrouver dans toutes les ressources pirates populaires.

Les plateformes de streaming vidéo utilisent le cryptage pour protéger leurs vidéos, mais bien souvent, elles ne se concentrent pas trop sur la protection des clés. Les pirates profitent de ce fait, ils font des efforts pour trouver la clé de cryptage. Avec cette clé, les pirates peuvent facilement reconvertir les fichiers cryptés en fichiers bruts. Parfois, les pirates ciblent également la plate-forme de stockage utilisée par la plateforme pour avoir accès au contenu avant même qu’il ne soit publié.

Diffusion simultanée de flux en direct et de chaînes de télévision

La capture et la redistribution du streaming en direct et des chaînes de télévision est l’une des principales formes de piratage vidéo. Les sports en direct sont l’un des événements en direct qui ont été massivement piratés. Selon une étude réalisée par Sportspromedia, environ 51 % des amateurs de sport choisissent de regarder des flux vidéo piratés.

Les pirates utilisent diverses méthodes pour capturer les flux en direct

● Falsification du logiciel de lecture vidéo ou d’Android OS.

● Enregistrer les écrans pendant la lecture ou capturer pendant une session de partage d’écran.

● Utilisation d’attaques de bourrage d’identifiants pour accéder et utiliser les détails des spectateurs légitimes.

● L’altération de la vidéo pour vaincre la filigrane, comme la requantification.

● Utilisation d’un VPN pour accéder à un contenu non disponible dans la région géographique,

L’étendue du problème

Vous trouverez peut-être sur Internet de nombreuses études sur le piratage vidéo, mais la vérité est qu’il est encore difficile de prédire l’ampleur réelle du piratage dans le monde. L’unique raison en est que nous n’avons pas été en mesure d’adopter une méthode cohérente pour suivre ce problème.

Il existe de nombreux ensembles de données fournis par d’énormes sociétés commerciales, mais ils ne sont pas complètement utiles et peuvent souvent être en désaccord les uns avec les autres en fonction de la méthodologie.

● Une étude a été menée par “l’Office européen de la propriété intellectuelle (EUIPO)” concernant l’impact du piratage dans les États membres. Les chiffres ont montré qu’environ 13,7 millions d’utilisateurs accèdent à des services pirates illégaux autour des pays européens.

● L’étude a également montré que les Pays-Bas, la Suède et l’Espagne constituaient les pourcentages les plus élevés de téléspectateurs contrevenants au sein de leur population, avec respectivement 8,9 %, 8,5 % et 6,9 %(la moyenne européenne est de 3,6 %).

● Le Royaume-Uni(2,4 millions), la France(2,3 millions) et l’Espagne(2,2 millions) ont les populations les plus importantes en matière d’utilisation régulière de services illégaux.

● L’image n’est pas encore claire en Amérique du Nord. Une étude de Sandvine a montré qu’environ 6,5 % des ménages communiquaient régulièrement avec des sites pirates. Parallèlement, un rapport de Park Associates a identifié que plus de 14,1 millions de foyers américains ont accédé à des vidéos pirates en 2019, ce qui représente environ 16 % du marché total de la télévision payante.

● Une étude menée par l’Université d’Amsterdam en 2017 a montré les habitudes de piratage à travers Hong Kong, l’Indonésie, le Japon et la Thaïlande. Les populations indonésienne et thaïlandaise ont toutes deux montré une utilisation très élevée de contenus piratés, l’étude estimant entre 65 % et 54 % le pourcentage de leurs populations Internet. Hong Kong a enregistré 27% de sa population internet tandis que le Japon a enregistré 12% de sa population internet (11% de la population totale).

● Les résultats ont été confirmés par l’Asia Video Industry Association en 2019 sur la base du rapport d’enquête auprès des consommateurs et il a été identifié que 24% des consommateurs de Hong kong utilisent des appareils de streaming sur internet pour accéder à des chaînes piratées. Ce chiffre est passé à 28 % des consommateurs aux Philippines, 34 % à Taïwan et 45 % en Thaïlande.

Les études et rapports susmentionnés permettent de constater et de conclure que le piratage vidéo, et en particulier le piratage de programmes télévisés ou de films, reste un problème grave à l’échelle mondiale..

Quel est l’impact du piratage ?

Diverses études ont montré que d’ici 2022, les pertes estimées pour l’industrie atteindraient 52 milliards de dollars au niveau mondial (Digital TV Research 2017), ainsi que des pertes massives de PIB. En ce qui concerne les États-Unis uniquement, les pertes de PIB dues au piratage ont été estimées entre 47 et 115 milliards de dollars (Blackburn et al, 2019).

Grâce à de nombreuses recherches et études désormais disponibles, nous commençons à comprendre l’impact plus large de ce problème de piratage vidéo. L’industrie américaine de la production et de la distribution de films et de programmes télévisés supporte plus de 2,6 millions d’emplois, et rien qu’en 2017, elle a généré 229 milliards de dollars de revenus. Un rapport de Blackburn, Eisenach et Harrison sur l’impact du piratage de films sur l’économie américaine, a estimé qu’en 2017, entre 230 000 et 560 000 emplois ont été perdus aux États-Unis en conséquence directe de l’activité de piratage.

Une étude récente du Global Innovation Policy Center de la Chambre de commerce américaine a identifié que le piratage de films coûte à l’industrie américaine de la télévision et du cinéma au moins 29,2 milliards de dollars et jusqu’à 71 milliards de dollars par an.

Les vidéos piratées font désormais l’objet de plus de 230 milliards de visionnages par an, dont la majorité provient de l’extérieur des États-Unis. La demande la plus forte concerne les épisodes de télévision piratés, avec plus de 12,8 milliards de vues aux États-Unis et 170,6 milliards de vues à l’étranger. Il y a 26,6 milliards de visionnages illégaux en ligne de films produits aux États-Unis et 126,7 milliards de visionnages d’émissions de télévision américaines chaque année.

Les moteurs de recherche de torrents comme PirateBay disposent d’un large portefeuille de contenus piratés provenant de Netflix et d’autres plateformes de diffusion en continu, qu’ils proposent ensuite à quelque 59 millions de pirates en ligne. De même, de nombreux autres sites de streaming vidéo illégaux contribuent chaque jour au piratage vidéo OTT.

Selon une étude intitulée “OTT streaming revenue insights“, le piratage vidéo devrait générer des revenus de 9,1 milliards de dollars en 2019 et la perte devrait augmenter de 38 % pour atteindre 12,5 milliards de dollars en 2022.

Comment arrêter le piratage vidéo ?

Les données ont régulièrement montré que les utilisateurs qui piratent souvent des contenus sont souvent les plus gros acheteurs de contenus légaux. Il existe une forte corrélation entre le fait de fournir aux téléspectateurs le contenu qu’ils souhaitent regarder (avec une bonne expérience de streaming à un prix raisonnable) et la réduction du piratage.

Une autre façon de réduire le piratage vidéo est de faciliter l’accès des utilisateurs au contenu sur leur plateforme SVOD, TVOD ou AVOD.  De nombreux utilisateurs pourraient opter pour une meilleure expérience utilisateur, même s’ils doivent payer un prix élevé pour cela. Des plates-formes comme Netflix personnalisent les suggestions de contenu en fonction de leurs choix et permettent aux utilisateurs de trouver facilement les émissions qu’ils pourraient aimer.

Explorons maintenant quelques autres mesures que vous pouvez prendre pour mettre fin au piratage vidéo sur votre site Web :

Bloquer le partage d’identifiants

Comme nous l’avons vu précédemment, le partage d’identifiants est l’une des principales causes du piratage vidéo. Les utilisateurs partagent souvent les mots de passe de leurs comptes entre eux. Il en résulte plusieurs connexions simultanées à partir d’un compte, ce qui conduit à la consommation du même contenu premium plusieurs fois, et donc à une perte de revenus que vous auriez pu tirer de ces visionnages.

-Pour les CMS comme les sites Web WordPress

Si votre site Web est basé sur WordPress, vous pouvez facilement empêcher le partage d’informations d’identification en utilisant plusieurs plugins disponibles. Vous pouvez ainsi limiter le nombre d’utilisateurs accédant à un compte à un moment donné. Vous pouvez utiliser le plugin word press pour bloquer les connexions simultanées.

En utilisant ce plugin, vous pouvez vous assurer qu’à un moment donné, les utilisateurs ne peuvent se connecter qu’à partir d’un seul appareil, empêchant ainsi l’accès au compte par plusieurs utilisateurs en même temps.

-Pour les sites Web non WordPress

Si votre site Web n’est pas basé sur WordPress, vous pouvez toujours limiter les connexions simultanées. Pour ce faire, vous pouvez allouer un identifiant unique qui est attribué à chaque fois qu’un utilisateur se connecte. Chaque fois qu’un ID unique est actif pour un compte, aucun autre ID n’est généré et l’ID précédent ne peut pas être utilisé pour se connecter à la plateforme.

Utilisation du SSO pour la connexion

L’utilisation d’une authentification unique pour la connexion au compte de l’utilisateur s’est avérée efficace pour mettre fin au partage des informations d’identification. Un utilisateur peut se connecter à la plateforme en utilisant des connexions sociales telles que Google, Facebook, etc.

Même si un utilisateur peut facilement partager sa connexion à la plateforme vidéo, un mot de passe Facebook ou Google est plus personnel et l’utilisateur s’abstiendra de le partager avec ses amis. De plus, étant donné que le SSO est convivial, qu’il évite de se souvenir des mots de passe et que la connexion est beaucoup plus simple en un seul clic, il est logique de promouvoir cette fonction auprès des utilisateurs.

Restreindre la lecture des vidéos

Une autre façon de s’assurer que le compte n’est pas partagé par les utilisateurs est de limiter le temps de visionnement total pour un utilisateur. En général, un utilisateur ne regardera pas une conférence deux ou trois fois. En fonction du comportement de votre utilisateur, vous pouvez limiter la durée totale de lecture d’une vidéo.

De cette façon, vous pouvez vous assurer que votre vidéo n’est pas regardée plusieurs fois par plusieurs utilisateurs. Pour une explication plus technique sur ce sujet, vous pouvez vous référer à la vidéo liée à la restriction du temps de visionnage, également, au cas où vous auriez besoin d’un code pour cela, vous pouvez l’obtenir ici.

Utilisation du cryptage vidéo

Le cryptage vidéo est utilisé pour sécuriser vos vidéos en les cryptant ou en les cachant à toute personne à qui vous n’avez pas donné accès. En fait, il empêche quiconque de visionner la vidéo sans votre autorisation (la clé de cryptage).

À l’heure actuelle, il existe deux grands protocoles de streaming vidéo chiffré populaires et faciles à utiliser :

● Le cryptage AES 128 (protocole normal ou échantillon AES 128).

● Cryptage HLS avec AES-128.

Le défaut des technologies courantes de cryptage vidéo – Même si ces cryptages par eux-mêmes sont décemment forts et ne peuvent pas être craqués par force brute, ils ont un défaut majeur, à savoir le fait que leurs clés sont exposées et peuvent être accessibles par n’importe quel pirate ou un outil/extension avec un certain effort. Les pirates peuvent utiliser la clé pour décrypter et télécharger facilement la vidéo.

Étant donné que le principal défaut de la technologie de cryptage est l’échange ouvert de clés, il est logique d’utiliser une technologie capable de le corriger. C’est là qu’intervient la technologie DRM.

Utilisation de la technologie de cryptage DRM

La technologie DRM (Digital Rights Management) fonctionne parallèlement au cryptage HLS, DASH et RTMP pour rendre la vidéo plus sûre en rendant impossible la découverte de la clé de cryptage. La technologie DRM supprime efficacement toute faille dans le cryptage de la vidéo afin de garantir que la vidéo ne puisse pas être téléchargée.

Les principaux DRM utilisés sur le marché pour mettre fin au piratage vidéo sont les suivants :

1. Le DRM Widevine de Google

2. DRM Fairplay d’Apple

Afin d’assurer la protection des vidéos, les DRM sont souvent utilisés avec la filigrane pour traquer tout contenu piraté.

Utilisation de la filigrane

La filigrane consiste à intégrer des informations numériques dans un signal vidéo afin d’identifier sa source d’origine. Il vise à identifier la source de redistribution des services de streaming illégaux. Tout contenu est marqué, ou tatoué, d’un identifiant unique qui peut être extrait en cas de piratage afin de retrouver la source d’origine.

Restrictions de domaine

Une autre façon d’assurer la protection des vidéos est de veiller à ce que vos vidéos soient limitées à un domaine. Vous pouvez ainsi limiter la lecture et le chargement de vos codes d’intégration vidéo à votre domaine uniquement. Cela empêche la copie du code d’intégration et son utilisation par les pirates pour visualiser la vidéo sur leur domaine.

Choisir un service d’hébergement vidéo sécurisé

Si vous n’avez pas l’intention d’utiliser la technologie de protection vidéo mentionnée ci-dessus, vous pouvez toujours faire appel à un service d’hébergement vidéo sécurisé tiers.

Ces plateformes d’hébergement se chargent de tous les aspects techniques liés à la vidéo sécurisée et assurent une diffusion transparente du côté client. Tout ce que vous avez à faire est de télécharger la vidéo sur la plateforme et d’utiliser le code d’intégration sur votre site web.

Une bonne plateforme d’hébergement vidéo présente quelques conditions préalables que vous devez vérifier en choisissant un tel service.

● Sécurité– Un cryptage basé sur le DRM pour protéger votre contenu.

● API vidéo– pour gérer les vidéos, pour permettre le chargement automatique des vidéos et obtenir l’OTP pour la lecture.

● CDN– pour garantir une livraison rapide du contenu à l’utilisateur, quelle que soit sa situation géographique.

● Video Analytics– pour avoir un aperçu de la façon dont votre contenu est consommé par vos utilisateurs et également vous aider à signaler tout événement improbable.

Comment VdoCipher aide-t-il à stopper le piratage vidéo ?

À l’heure actuelle, il existe plusieurs plateformes qui assurent la protection des vidéos. Mais leur offre est limitée au cryptage de la vidéo sans aucune technologie de DRM vidéo. Cela expose la clé, qu’un utilisateur averti peut facilement identifier et utiliser pour accéder à la vidéo. Un grand nombre de nos clients actuels ont été confrontés à de tels problèmes avant d’opter pour notre solution de sécurité vidéo. C’est là que Vdocipher intervient. Nous garantissons à nos clients une sécurité optimale contre le piratage vidéo. Nous le faisons en fournissant un cryptage DRM de qualité Hollywoodienne et notre technologie de filigrane dynamique.

● Streaming vidéo DRM crypté – Grâce à la technologie DRM de qualité Hollywoodienne de Vdocipher, personne ne peut télécharger vos vidéos à l’aide d’un plugin ou d’un quelconque hacks.

● Filigrane dynamique – Vous pouvez filigraner l’adresse Ip, l’identifiant de l’utilisateur, l’identifiant de l’e-mail, le numéro de téléphone, le logo, la superposition de texte pour identifier la source du piratage. Vous pouvez même personnaliser le filigrane en termes d’opacité, de couleur, de vitesse et de taille également.

● Forfait Server To Player – Avec Vdocipher, vous bénéficiez non seulement d’une protection vidéo, mais nous fournissons également -Amazon AWS pour les serveurs, CDN, Transcoding, Analytics, API, Dashboard, Plugins, Workflows personnalisés. Toutes ces fonctionnalités renforcent encore la sécurité et facilitent le contrôle de vos vidéos.

● Lecteur vidéo en ligne intelligent – Avec notre lecteur vidéo en ligne personnalisable, vous pouvez donner accès à des fonctionnalités populaires telles que les sous-titres, le changement de vitesse, les options d’avance et de retour en arrière à vos utilisateurs. Dans le cas où vous fournissez une application androïde, vous pouvez également donner une option pour conserver ces vidéos pour une utilisation hors ligne sans vous soucier du piratage.

● Blocage de la capture d’écran dans les applications mobiles – L’intégration du SDK mobile de VdoCipher inclut par défaut la protection de la capture d’écran dans les applications Android et IOS. La protection contre la capture d’écran dans les navigateurs courants comme Chrome, Firefox sur le bureau n’est pas possible.